1Q-8 Candidose
- Dysbioses
- Alimentation riche en glucides rapides
- Alcool
- Déséquilibres du microbiote et de la digestion
- Dysbioses : déséquilibre du microbiote intestinal ou vaginal favorisant la prolifération de *Candida*.
- Prise prolongée d’antibiotiques : réduction des bactéries commensales compétitives permettant à *Candida* de proliférer.
- Déficit enzymatique pancréatique : insuffisance de digestion des glucides complexes favorisant la fermentation et la croissance fongique.
- pH intestinal ou vaginal déséquilibré : acidification excessive ou alcalinisation favorisant l’adhésion de *Candida* à la muqueuse.
- Hyperperméabilité intestinale : favorise le passage de fragments fongiques et l’installation d’une candidose chronique.
- Facteurs alimentaires et métaboliques
- Alimentation riche en glucides rapides : excès de sucres simples (sucreries, pain blanc, produits ultra-transformés) favorisant la croissance de *Candida*.
- Consommation d’alcool : altération de la flore intestinale et surcharge hépatique diminuant la capacité de régulation du microbiote.
- Diabète et hyperglycémie : excès de glucose circulant favorisant la multiplication de *Candida*.
- Facteurs immunitaires et hormonaux
- Traitements immunosuppresseurs : corticoïdes, chimiothérapie ou immunosuppresseurs favorisant une immunodépression et une prolifération fongique.
- Déséquilibre hormonal : contraception hormonale, grossesse ou SOPK modifiant l’environnement favorable à *Candida*.
- Facteurs liés au mode de vie
- Stress chronique : activation de l’axe hypothalamo-hypophyso-surrénalien perturbant l’équilibre du microbiote.
- Neurotoxique : production de candidine
- Diminution de la dopamine (inhibé par acétaldéhyde)
- Perturbation de la production d’énergie ⟶ à cause de l’acide tartarique
- Diminution du seuil de la douleur ⟶ lié aux toxines opioïdes
- Risque de Leaky Gut Syndrom ⟶ par dégradation des mucines de l’intestin et de l’estomac
- Conséquences neurotoxiques
- Production de candidine → toxine fongique pouvant affecter le système nerveux et favoriser une neuroinflammation.
- Diminution de la dopamine → inhibition par l’acétaldéhyde, entraînant fatigue, troubles de l’humeur et altération cognitive.
- Altération du sommeil → perturbation du cycle veille-sommeil en raison de la neurotoxicité des toxines de *Candida*.
- Brouillard cérébral → difficulté de concentration et ralentissement cognitif liés aux toxines fongiques.
- Agitation et anxiété → causées par un déséquilibre des neurotransmetteurs (dopamine, sérotonine).
- Altération du métabolisme énergétique
- Perturbation de la production d’énergie → due à l’accumulation d’acide tartarique, un inhibiteur de la production d’ATP dans les mitochondries.
- Augmentation du stress oxydatif → surcharge des mécanismes de détoxification hépatique, favorisant la fatigue chronique.
- Carences en vitamines et minéraux → malabsorption de nutriments essentiels comme le magnésium, le fer et les vitamines du groupe B.
- Hypoglycémie réactionnelle → *Candida* se nourrit des sucres, pouvant perturber la régulation glycémique.
- Effets sur la perception de la douleur
- Diminution du seuil de la douleur → liée aux toxines opioïdes fongiques, augmentant la sensibilité aux douleurs musculaires et articulaires.
- Hypersensibilité nerveuse → modulation anormale de la transmission de la douleur par les toxines de *Candida*.
- Myalgies et douleurs articulaires → inflammations musculaires et articulaires pouvant mimer une fibromyalgie.
- Conséquences gastro-intestinales
- Risque de Leaky Gut Syndrome → causé par la dégradation des mucines protectrices de l’intestin et de l’estomac.
- Hyperperméabilité intestinale → favorise le passage de toxines microbiennes et fongiques dans la circulation sanguine, aggravant l’inflammation systémique.
- Ballonnements et gaz → fermentation excessive des sucres par *Candida*.
- Diarrhées ou constipation → perturbation du microbiote intestinal et du transit.
- Intolérances alimentaires → augmentation de la réactivité intestinale face au gluten, aux produits laitiers et aux FODMAPs.
- Reflux gastro-œsophagien (RGO) → irritation de l’estomac et du sphincter œsophagien.
- Effets sur le système immunitaire
- Immunosuppression locale → *Candida* peut moduler la réponse immunitaire pour favoriser sa survie.
- Augmentation de l’inflammation de bas grade → activation du système immunitaire face aux toxines fongiques.
- Infections à répétition → fragilisation du système immunitaire favorisant les infections bactériennes et virales.
- Réaction auto-immune → stimulation excessive du système immunitaire pouvant aggraver certaines maladies auto-immunes.
MOU/ DMI (c’est le même test, un acronyme est en Francais, l’autre en Anglais)
Prise En Charge
| PEC nutritionnelle | PEC micronutritionnelle | PEC micronutritionnelle 2 |
|---|---|---|
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| Exemple de protocole micronutritionnel Candidose Adulte ou enfant de plus de 14 ans | |
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| Traitement d’attaque J1 → J19 |
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| A partir de J20 : |
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| A partir de J20 |
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| Cicatrisation intestin : J1 → J90 |
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| Exemple de protocole micronutritionnel Candidose Enfant > 12 ans, Adulte avec fragilité hépatique | |
|---|---|
| Traitement d’attaque |
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| Après Ergypar : |
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| Après le traitement d’attaque |
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| Cicatrisation intestin J1 → J90 |
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| Exemple de protocole micronutritionnel Candidose : Bébés, enfant, femme enceinte, allaitante | |
|---|---|
| EPP |
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| Probiotiques |
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| Homéopathie |
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